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Par nabelle le 18 Décembre 2013 à 14:12
Fenêtre sur l’au-delà
Pour ce père
J’ai frappé tel un fou au hasard de mes peurs.
J’ai lutté, j’ai prié, j’ai plié… j’ai tué !
J’ai crié, j’ai pleuré et me suis effondré ;
Sans un bruit je m’enfuis, j’ai fini de lutter.
Qu'une fenêtre s'ouvre et recueille mon coeur...
Anabelle Laye Martinez
18 décembre 2013
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Par nabelle le 4 Octobre 2013 à 10:38
Face au monde, je crois
Face aux rires et aux cris,
Face aux peurs, face aux gens
Qui s’en vont et sourient,
Face aux regards fuyants,
Moi j’y crois, pourquoi pas ?
Face aux temps de tourments,
Face aux guerres, à la haine,
Aux tourments les plus grands,
Face à terre, en colère;
Moi j’y crois, pourquoi pas ?
Face aux jours les plus sombres,
A l’envie de partir
Fuir la vie et ses ombres,
Face aux peurs et au pire,
Moi j’y crois, oui je crois !
Anabelle Laye Martinez
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Par nabelle le 1 Octobre 2013 à 09:58
J’ai choisi de sourire
J’ai choisi de sourire
Face à la pluie, aux vents,
Face aux foudres du temps,
Aux neiges qui s’étirent.
J’ai choisi de sourire
Face aux cris intérieurs.
J’ai choisi de me dire
Que mes doutes et mes peurs
Ne feront pas la loi
Dans mon cœur. Je souris
Malgré toutes les fois
Où le bonheur s’enfuit.
Ce n’est pas un mensonge,
C’est une flamm’ dans le noir,
La force de ces songes
Qui font naître l’espoir.
Anabelle Laye Martinez
1er octobre 2013
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Par nabelle le 13 Septembre 2013 à 09:51
Un bout d'éternité
Je n'ai rien à prouver;
Ni les rimes que j'écris
Ni celles que je tais.
Je n'ai rien à donner;
Tout juste un peu de vie,
Un rire à partager.
Je n'ai rien à envier;
J'ai en moi l'infini,
Un bout d'éternité...
Anabelle Laye Martinez
13 septembre 2013
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Par nabelle le 21 Août 2013 à 14:19
Comme une évidence
Caressant du regard les cieux et l'au-delà,
Offrant mes mains ouvertes, tendues vers ton amour,
Malgré la peur, la honte, je dirige mes pas
Maladroits, trébuchants jusque vers d'autres jours.
Espérons que là-haut, un coeur aimant m'accueille...
Usée par trop de larmes ignorées et raillées,
Nue et vide à l'espace léger qui m'entoure,
Etrainée peu à peu vers un nouveau sentier,
Elevée au-delà des rêves les plus fous,
Voici venu le temps où je suis libre enfin.
Immortelle à la vie qui m'est donnée de vivre,
Demain n'est qu'un instant sur la toile infinie
Et je ris d'oublier mes faux pas, mes râtés,
Naissant à cette grâce qui me porte en son sein.
Coupable je l'étais face aux juges de l'ombre
Et me voici grâciée, sortie de mes décombres.
Anabelle Laye Martinez
21 août 2013
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