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Par nabelle le 1 Septembre 2013 à 12:06
Train de vie
Un gros train
Entre en gare.
Il est très en retard
Le train des grands chemins.
Chemins de fer
Et fers aux pieds,
Ho hisse, je saute pieds en l’air
A bord de la chenille d’acier.
Tchou tchou ; Ca siffle fort
Un train en gare !
Toujours il court, trop en retard,
Mais jamais il ne perd le nord.
Anabelle Laye Martinez
2 février 2013
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Par nabelle le 30 Août 2013 à 20:01
Une belle rentrée
Le soleil s’est levé
Sur ma rue endormie.
C’est un jour de rentrée,
Un jour plein de sourires.
J’ai gardé dans mon cœur
Des photos de ciel bleu,
L’océan et les fleurs,
Des rires plein les yeux.
Les vacances s’endorment
Sur de bons souvenirs.
Moi, j’ai un cœur énorme
Et mon cartable est pire !
J’y ai mis mes stylos,
Mes cahiers, mes secrets.
Cette année j’apprendrai
Tous les chiffres et les mots ;
J’aimerais tout savoir
Du monde et l’univers !
Je ferai mes devoirs
Et aussi plein de rêves…
Anabelle Laye Martinez
30 Août 2013
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Par nabelle le 27 Juin 2013 à 10:21
Pédalo, pieds dans l’eau !
Mon père hier a proposé
Une ballade en pédalo.
Rien que le nom est rigolo,
Moi j’ai dis oui sans hésité.
Maman a dit de ce bateau :
« Faut pédaler pour avancer ! »
Mais les vélos vont pas sur l’eau,
Maman elle a du oublier …
Assis à bord du pédalo,
Papa et moi on rigolait.
On a chanté et pédalé,
Et moi j’ai mis les pieds dans l’eau.
Anabelle Laye Martinez
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Par nabelle le 6 Juin 2013 à 13:52
Les lutins
Les lutins sont de sortis ;
Ils ont ris toute la nuit.
Plaf ici et plouf là bas,
Les voici, les revoilà !
C‘est l’été tout beau tout chaud ;
Tongues, crème et sac à dos.
Les lutins sont à la fête,
Champs de blés, maillots, serviettes !
J’entends siffloter au loin,
Bien plus loin, sur le chemin …
L’école est finie, finie ;
Les lutins sont de sortie.
Anabelle Laye Martinez
19 juin 2012
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Par nabelle le 24 Mai 2013 à 15:53
Anorexique … Qui a dit ça ?
J’ai refermé sur moi la prison de mon âme.
Mes chaînes étaient trop lourdes et j’ai perdu la clef
D’accès à tout contrôle sur mes propres données.
Ce matin, porte close. Je me noie dans mes larmes.
Cette femme affichée sur les murs de mon cœur,
Sur les murs de la ville et tout autour de moi,
A dévoré ma vie. C’était elle ou bien moi !
J’arracherai ma peau pour dépasser ma peur !!
Elle est belle, attirante et nul ne me regarde.
Elle est nue, foudroyante et je n’existe pas.
Ma prison, nul ne sait qu’elle n’est pas dans un plat !
Je vous mens et je meurs, mais personne n’y prend garde …
Solitude, amertume sur les murs des cellules ;
Sur mes draps maculés, j’ai craché mon assiette
Et sans cri j’ai rêvé d’ouvrir cette fenêtre.
Retiens moi, je veux vivre. Ne crains pas : je recule …
Pourtant tu étais là à chacun de mes pas …
Anabelle Laye Martinez
15 novembre 2012
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